Un avenir pour le patrimoine et la culture

Avenue du professeur Léon Bernard, banc rouillâtre, proche de l’arrêt de bus “République”.

👩‍🦳 X (étudiante rennaise) : Alors, cette journée « La Bretagne et le numérique, » qu’est-ce que tu en as pensé ?

👩‍🚀 Y (étudiant en Humanités numériques) : C’était passionnant ! Imagine, le patrimoine breton et la technologie se sont rencontrés. C’était la célébration des dix ans de Bretania, et il y avait un tas d’acteurs : chercheurs, professionnels de la culture, des archives, des musées, et en plus l’équipe de BavAR[t].

👩‍🦳: BavAR[t], justement, ils ont dit quoi ?

👩‍🚀: Ils ont parlé du rôle et du sens de la formation universitaire. Est-ce que nos formations nous préparent à nos futurs métiers ? C’est un studio créatif donc ils ont un regard un peu différent des académiciens. Ils ont partagé la scène avec des experts comme Sylvain Laubé et Antoine Gouritin. Ils ont discuté des métiers du futur dans la culture numérique. Intéressant et audible pour tous.

👩‍🦳 : Et les projets ? C’était théorique ou concret ?

👩‍🚀 : Plutôt concret ! On a vu des initiatives comme le projet PlozéCoA sur la « fairisation » des données, le portail du Musée de Bretagne, et la valorisation de l’héritage breton. Chaque intervenant apportait sa pierre, comme dans une œuvre collective en pleine construction.

👩‍🦳 : Une journée non-ordinaire à la Fac quoi ?

👩‍🚀 : Yes. Elle s’est conclue sur une note ouverte, avec une discussion autour de la création d’un réseau interprofessionnel. C’est vraiment inspirant pour nous, futurs professionnels ! L’impression que le patrimoine se réinvente… que la culture est bien présente.. que nos études ont un sens.

Bus C4 en approche, doublant une flopée de véhicules individuels.

👩‍🦳 : J’étais coincé dans mon boulot-pasta. Merci l’ami. J’espère que le buffet était aussi au top.

👩‍🚀 : C’était kali l’ami.